Bon nombre de personnes voient l’iPad comme une autre façon de présenter le contenu d’un livre. Un exemple de ce contenu repensé est montré dans un billet du blogue ebouqin. Ce dernier y présente le livre Alice au pays des merveilles, voici le lien. Vous remarquerez rapidement que ce livre a été rematricé pour l’iPad. Bien sûr, l’exemple ici choisi s’applique dans un simple contexte, mais il n’en reste pas moins que celui-ci laisse porte ouverte à l’imagination pour des sujets plus adultes ou sérieux.
L’iPhone et l’iPad supportent la lecture de vidéos dans un format H.264. Selon le site web d’Apple, l’iPhone, ayant précédé l’iPad, a été le premier appareil mobile à autoriser la lecture de ce type de format vidéo. La raison qui a justifié un tel choix de format est que celui-ci assure une meilleure qualité et est moins énergivore que son semblable, le Flash Player. D’ailleurs, les deux types d’appareil ne supportent pas ce dernier. Selon un article paru dans le Washington Post, ce format de vidéo a des défaillances : il est utilisé pour intégrer des publicités dans les pages web, il ralentit les interfaces et il supporte les vidéos indésirables en intro lors de l’entrée dans un site Web.
La durée de vie de la pile de l’iPad parait ainsi plus longue. Il est à noter que pour répondre à la demande de vidéos en formats H.264 générée par Apple, le site Web YouTube offre maintenant des vidéos pour ce genre de format.
Si l’écran de petite taille du iPhone peut alimenter l’idée chez les sceptiques qu’elle est inadéquate pour la lecture, il reste que cette activité est répandue chez les usagers de cet appareil. Une enquête qui a étudié les principales applications iPhone en a établi la preuve. En octobre 2009, le nombre d’applications développées pour la lecture de livre a surpassé celui des jeux. Le développement des applications suit évidemment la demande.
La sortie du iPad symbolise manifestement l’entrée officielle de Apple dans la concurrence pour obtenir un point de distribution rentable pour les créateurs de contenus, les éditeurs (journaux, magazines, livres…).
Avec l’iPhone, la concurrence vis-à-vis des autres joueurs de ce secteur semblait davantage comme un dommage collatéral, une surprise. Maintenant, c’est intentionnel.
Plusieurs prédisent qu’Apple va hausser le prix des ebooks. Cette hausse de prix sera profitable pour les auteurs et les éditeurs. La raison du soutient d’un tel espoir est l’expertise que détient Apple pour rendre rentable le contenu numérique. (p. ex. le iTune pour se procurer de la musique)
De plus, quelques jours avant la sortie officielle du iPad, un article paru dans Le Devoir a dévoilé au grand public que : « Le domaine du livre électronique sera transformé, aujourd'hui, alors que cinq des six plus grands éditeurs en Amérique du Nord mettront en place une nouvelle échelle de prix qui éliminera les énormes rabais et la nécessité de magasiner pour comparer les prix. » Il semble que les éditeurs ont décidé de reprendre le contrôle du marché.
Pour l’instant, la compétition se joue majoritairement avec le Kindle d’Amazone. Cette entreprise a vite fixé la barre maximale du prix du livre électronique à 10 $, créant ainsi une offre alléchante pour ceux qui désireraient acheter son Kindle. Étant la principale entreprise dans ce domaine, Amazone possédait jusqu’à tout dernièrement un véritable monopole. Dorénavant, avec l’entrée en scène d’Apple et son application iBooks qui comprend un magasin dédié aux livres électroniques, les créateurs de contenu ont obtenu un pouvoir de négociation. En effet, Apple défie les lois d’Amazone en augmentant le prix des livres électroniques au-dessus de la barre des 10 $. Situation malheureuse du point de vue du consommateur, mais une célébration pour les créateurs de contenu, car ces derniers peuvent dorénavant compter sur Apple pour marchander. C’est le cas de l’éditeur McMillan qui a exigé à Amazone d’augmenter le prix des ebooks. Bref, Amazone est en train de revoir sa stratégie, car Apple est en train de tirer son épingle du jeu.
L’iPhone et l’iPad supportent la lecture de vidéos dans un format H.264. Selon le site web d’Apple, l’iPhone, ayant précédé l’iPad, a été le premier appareil mobile à autoriser la lecture de ce type de format vidéo. La raison qui a justifié un tel choix de format est que celui-ci assure une meilleure qualité et est moins énergivore que son semblable, le Flash Player. D’ailleurs, les deux types d’appareil ne supportent pas ce dernier. Selon un article paru dans le Washington Post, ce format de vidéo a des défaillances : il est utilisé pour intégrer des publicités dans les pages web, il ralentit les interfaces et il supporte les vidéos indésirables en intro lors de l’entrée dans un site Web.
La durée de vie de la pile de l’iPad parait ainsi plus longue. Il est à noter que pour répondre à la demande de vidéos en formats H.264 générée par Apple, le site Web YouTube offre maintenant des vidéos pour ce genre de format.
Si l’écran de petite taille du iPhone peut alimenter l’idée chez les sceptiques qu’elle est inadéquate pour la lecture, il reste que cette activité est répandue chez les usagers de cet appareil. Une enquête qui a étudié les principales applications iPhone en a établi la preuve. En octobre 2009, le nombre d’applications développées pour la lecture de livre a surpassé celui des jeux. Le développement des applications suit évidemment la demande.
La sortie du iPad symbolise manifestement l’entrée officielle de Apple dans la concurrence pour obtenir un point de distribution rentable pour les créateurs de contenus, les éditeurs (journaux, magazines, livres…).
Avec l’iPhone, la concurrence vis-à-vis des autres joueurs de ce secteur semblait davantage comme un dommage collatéral, une surprise. Maintenant, c’est intentionnel.
Plusieurs prédisent qu’Apple va hausser le prix des ebooks. Cette hausse de prix sera profitable pour les auteurs et les éditeurs. La raison du soutient d’un tel espoir est l’expertise que détient Apple pour rendre rentable le contenu numérique. (p. ex. le iTune pour se procurer de la musique)
De plus, quelques jours avant la sortie officielle du iPad, un article paru dans Le Devoir a dévoilé au grand public que : « Le domaine du livre électronique sera transformé, aujourd'hui, alors que cinq des six plus grands éditeurs en Amérique du Nord mettront en place une nouvelle échelle de prix qui éliminera les énormes rabais et la nécessité de magasiner pour comparer les prix. » Il semble que les éditeurs ont décidé de reprendre le contrôle du marché.
Pour l’instant, la compétition se joue majoritairement avec le Kindle d’Amazone. Cette entreprise a vite fixé la barre maximale du prix du livre électronique à 10 $, créant ainsi une offre alléchante pour ceux qui désireraient acheter son Kindle. Étant la principale entreprise dans ce domaine, Amazone possédait jusqu’à tout dernièrement un véritable monopole. Dorénavant, avec l’entrée en scène d’Apple et son application iBooks qui comprend un magasin dédié aux livres électroniques, les créateurs de contenu ont obtenu un pouvoir de négociation. En effet, Apple défie les lois d’Amazone en augmentant le prix des livres électroniques au-dessus de la barre des 10 $. Situation malheureuse du point de vue du consommateur, mais une célébration pour les créateurs de contenu, car ces derniers peuvent dorénavant compter sur Apple pour marchander. C’est le cas de l’éditeur McMillan qui a exigé à Amazone d’augmenter le prix des ebooks. Bref, Amazone est en train de revoir sa stratégie, car Apple est en train de tirer son épingle du jeu.
No comments:
Post a Comment